Wall-E est dans la place
C’est un monde nouveau est sur le point d’apparaître. L’époque est hallucinante : les robots débarquent dans nos existences. Ils crapahutent sur 2 jambes, causer, comprendre nos émotions. Dans un avenir très proche, ils vont investir les aéroports, servir les employés, Formation referencement naturel Lille nous assister lorsque nous devons cuisiner. Tout cela est à ce point imminent qu’avant-hier j’ai participé à un séminaire à Lille qui leur était totalement consacré. Le sujet de ce symposium était plus particulièrement centré sur la collaboration Homme-Robot et ses nombreuses implications, Agence SEO tant dans l’entreprise que dans le domaine des services robotiques. Le symposium n’abordait pas les progrès technologiques. Le sujet était principalement examiné sous les différents axes la question du facteur humain et de la transformation dans les process industriels. Lors d’un débat, j’ai pu voir qu’un volte-face important s’était opéré dans la façon de les percevoir : les robots ne sont plus regardés comme des remplaçants, mais bien comme des coéquipiers. A tel point qu’on ne parle plus question de robots, mais de robots humanoïdes collaboratifs (qu’on appelle également cobot). La robotique collaborative prépare les robots non comme des travailleurs solitaires mais de manière à ce qu’ils travaillent au contact et en association avec l’homme. Cette association impose d’une part une forme d’intelligence embarquée, capable d’assimiler les données communiquées par les capteurs internes du robot, et exige par ailleurs que le robot soit doux, c’est-à-dire que ses déplacements soient souples, plus proches de ceux des humains. La robotique collaborative concerne aujourd’hui la plupart des secteurs de l’industrie, qu’il s’agisse de grandes entreprises ou PME. La flexibilité, la sûreté et le gain qui distinguent ces robots collaboratifs en font des instruments qui permettent l’automatisation de tâches peu ou pas robotisées à l’heure actuelle. La robotique collaborative est en somme le deuxième niveau de robotisation des industries, l’élément primordial de l’usine à venir. Et une chose est certaine : la période qui vient promet d’être exaltante à vivre. Les robots ont encore un long chemin à faire pour convaincre de leur nécessité mais aussi être acceptés. Mais ce meeting m’a convaincu. Et je suis convaincu que d’ici cinq ans, nous aurons tous un Aiko Chihira au boulot ou à la maison pour nous assister dans ses activités.